La transition vers une économie sobre en carbone s’avère nécessaire pour lutter contre les changements climatiques. D’où l’essor des projets de construction carboneutres ! Mais comment et pourquoi mesurer l’intensité carbone des projets ?
Une baladodiffusion de Constructo, en collaboration avec le Fonds immobilier de solidarité FTQ.
Dans ce premier épisode, nous discuterons de la mesure de l’intensité carbone dans les projets de construction, un élément qui deviendra, sans doute, incontournable et nécessaire lors de leur conception.
Pour parler de ce sujet au cœur de ce mouvement environnemental, nous recevons Julie-Anne Chayer, vice-présidente, responsabilité d’entreprise chez Groupe Agéco, et Serge Cormier, vice-président à la construction, au Fonds immobilier de solidarité FTQ.
Avec eux, nous aborderons des questions telles que :
- Qu’est-ce que l’intensité carbone et en quoi fait-elle partie des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) ?
- Comment, à quelle étape et pour quels bénéfices devrait-on mesurer l’intensité carbone de nos projets de construction ? Et par où commencer ?
- La mesure de l’intensité est-elle différente selon qu’un bâtiment est existant ou à construire ?
- Comment peut-on réduire l’intensité carbone d’un ouvrage ou d’un bâtiment avant, pendant et après sa construction ?
- Est-ce que cette mesure pourrait devenir nécessaire dans nos projets, ainsi que pour attirer les investisseurs institutionnels, et pourquoi ?
« La mesure de l’intensité carbone va évidemment attirer les investisseurs, parce qu’ils mesurent leurs risques. Si, par une saine gestion de l’empreinte carbone des actifs, on réussit à diminuer le risque, on devrait retrouver une juste valeur marchande supérieure. Pour les investisseurs et les assureurs, entre autres, c’est important. »
- Serge Cormier, vice-président à la construction, au Fonds immobilier de solidarité FTQ