Générations 1,5 ˚C : une étude sur la rentabilité du bâtiment durable

Balado : Générations 1,5 ˚C : une étude sur la rentabilité du bâtiment durable

Le monde de l’investissement dans les secteurs immobilier et de la construction connaît d’importants changements. Mais est-ce réaliste de croire que la construction durable, bien que nécessaire, soit bel et bien rentable ? Découvrons ce qu’en dit l’étude Générations 1,5 ˚C !

Une baladodiffusion de Constructo, en collaboration avec le Fonds immobilier de solidarité FTQ.

Les changements climatiques, dont nous prenons conscience de l’ampleur, redéfinissent nos façons de faire et la façon dont nous percevons les industries du secteur de l’immobilier et de la construction. 

 

Le bâtiment, reconnu mondialement comme étant l’un des importants contributeurs aux changements climatiques, se trouve au cœur des solutions considérées. 

 

Dans cet épisode, on discute des résultats d’une étude sur la rentabilité de l’immobilier durable, l’étude Générations 1,5 ˚C , avec nos invités, Philippe Hudon, président et fondateur d’Akonovia, ainsi que Serge Cormier, vice-président, création de valeur, ESG et immobilier durable au Fonds immobilier.

 

Nous traiterons différentes questions comme : 

  • Pourquoi et à quel point un bâtiment qui a coûté plus cher à construire en raison, entre autres, des matériaux et des équipements électromécaniques utilisés ainsi que faibles en carbone intrinsèque et opérationnel serait-il, sur le long terme, plus rentable ?
  • La question de financement est-elle réellement un enjeu auquel seront confrontés les promoteurs ne possédant pas d’actifs immobiliers dits « durables » au cours des prochaines années ? 
  • Comment réagissent les institutions financières face à l’immobilier durable ?
  • Quels sont les résultats les plus surprenants de cette étude et que devrait-on en retenir ?
  • Quels éléments ont davantage influencé les résultats de cette étude et serait-il intéressant de reproduire un tel exercice dans les années à venir ?
  • Quels résultats peut-on espérer que cette étude engendre sur l’industrie et l’immobilier québécois ?

 

« Tous ces éléments-là font en sorte qu’on a modélisé qu’on pourrait passer de 85 % de la valeur initiale à, après 10 ans, quelque chose qui pourrait atteindre 130 % de la valeur initiale. Donc il y a une valeur cachée là-dedans, et on peut l’interpréter comme  […]  soit une perte, ou soit de ne pas avoir accès à une plus value. »
—Serge Cormier, vice-président, création de valeur, ESG et immobilier durable, Fonds immobilier FTQ.

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