• Pavillon La Laurentienne, local 2435, Université Laval, Québec
    Description

    Numéro de l'activité : MNG-U171

    Nombre d’unités d’éducation continue (UEC) : 2.1

    Durée : 3 jours

    Formation offerte à : Montréal, Québec

     

    Clientèle visée :

    Cette formation s'adresse aux ingénieurs, aux chargés de projet et de programmes, aux gestionnaires et professionnels.

     

    Objectifs :

    La turbulence et la complexité des activités vécues à l’intérieur de nos organisations amènent les ingénieurs et leurs ressources à faire preuve d’une forte capacité d’innovation et d’adaptation afin de demeurer compétitifs. Dans ce contexte, une structure fonctionnelle s’avère souvent moins performante. La gestion par projet offre, par ailleurs, une solution de premier plan pour soutenir la réactivité de l’entreprise et procurer l’agilité nécessaire à la mobilisation des compétences requises, au moment opportun.

     

    Formateur :

    • Michel Cambron, ing., MBA

    Michel Cambron a travaillé auprès de grandes entreprises telles que Bombardier Aéronautique, SPAR Aérospatiale et Harmon Industries, au sein desquelles il a occupé divers postes de direction en gestion de projet. Il a piloté d'importants projets complexes de développement de nouveaux produits avec des partenaires internationaux, projets impliquant des budgets de plus de 15 millions $. Il a développé une expertise en amélioration des processus de gestion de projet et d’ingénierie des systèmes. Il a travaillé avec Bombardier à l'élaboration des processus de gestion de projet communs aux quatre sites de Bombardier Aéronautique. Il a été l'un des responsables de la mise en place de processus de gestion de projet et d’ingénierie visant à satisfaire aux exigences de niveau 2 du SW-CMM. Récemment, il a travaillé à la mise en place des processus de niveaux 2 et 3 de gestion de projet et d’ingénierie des systèmes à CAE selon le CMMI (Capability Maturity Model Integration). Agent de changement reconnu, M. Cambron fait preuve d'une excellente capacité à évaluer des situations complexes et à recommander des solutions réalistes. Depuis près de 10 ans, il donne des cours en gestion de projet et en ingénierie des systèmes dans le cadre de la maîtrise en gestion de projets technologiques à l’École Polytechnique de Montréal. Il détient un baccalauréat en ingénierie de l’École Polytechnique de Montréal et une maîtrise en administration des affaires (MBA) de l’Université Concordia. Il est membre de l’Ordre des ingénieurs du Québec.

     

    Coût : 1 350 $

     

  • 550, rue Sherbrooke Ouest, Tour Est, bureau 300, Université Laval, Montréal
    Description

    Numéro de l'activité : MNG-U171

    Nombre d’unités d’éducation continue (UEC) : 2.1

    Durée : 3 jours

    Formation offerte à : Montréal, Québec

     

    Clientèle visée :

    Cette formation s'adresse aux ingénieurs, aux chargés de projet et de programmes, aux gestionnaires et professionnels.

     

    Objectifs :

    La turbulence et la complexité des activités vécues à l’intérieur de nos organisations amènent les ingénieurs et leurs ressources à faire preuve d’une forte capacité d’innovation et d’adaptation afin de demeurer compétitifs. Dans ce contexte, une structure fonctionnelle s’avère souvent moins performante. La gestion par projet offre, par ailleurs, une solution de premier plan pour soutenir la réactivité de l’entreprise et procurer l’agilité nécessaire à la mobilisation des compétences requises, au moment opportun.

     

    Formateur :

    • Michel Cambron, ing., MBA

    Michel Cambron a travaillé auprès de grandes entreprises telles que Bombardier Aéronautique, SPAR Aérospatiale et Harmon Industries, au sein desquelles il a occupé divers postes de direction en gestion de projet. Il a piloté d'importants projets complexes de développement de nouveaux produits avec des partenaires internationaux, projets impliquant des budgets de plus de 15 millions $. Il a développé une expertise en amélioration des processus de gestion de projet et d’ingénierie des systèmes. Il a travaillé avec Bombardier à l'élaboration des processus de gestion de projet communs aux quatre sites de Bombardier Aéronautique. Il a été l'un des responsables de la mise en place de processus de gestion de projet et d’ingénierie visant à satisfaire aux exigences de niveau 2 du SW-CMM. Récemment, il a travaillé à la mise en place des processus de niveaux 2 et 3 de gestion de projet et d’ingénierie des systèmes à CAE selon le CMMI (Capability Maturity Model Integration). Agent de changement reconnu, M. Cambron fait preuve d'une excellente capacité à évaluer des situations complexes et à recommander des solutions réalistes. Depuis près de 10 ans, il donne des cours en gestion de projet et en ingénierie des systèmes dans le cadre de la maîtrise en gestion de projets technologiques à l’École Polytechnique de Montréal. Il détient un baccalauréat en ingénierie de l’École Polytechnique de Montréal et une maîtrise en administration des affaires (MBA) de l’Université Concordia. Il est membre de l’Ordre des ingénieurs du Québec.

     

    Coût : 1 350 $

  • Pavillon La Laurentienne, local 2416, Université Laval, Québec
    Description

    Numéro de l'activité : GML-U001

    Nombre d’unités d’éducation continue (UEC) : 1.5

    Durée : 2 jours

    Formation offerte à : Québec

     

    Objectif :

    Cette formation a pour objectifs de définir les notions fondamentales des différents phénomènes de corrosion, de posséder et de savoir utiliser un vocabulaire associé à la corrosion, de savoir déterminer les facteurs importants qui influencent la durée de vie d'une composante et être sensibilisé aux différents moyens de lutte contre la corrosion. Elle traite spécialement de cas de dégradation d'équipements de génie civil.

     

    Formateur :

    • Alexandre Szymanski, ing., M. ing.

    Ingénieur en matériaux, Alexandre Szymanski détient une maîtrise en génie mécanique de l'ETS où il y a œuvré en tant que chargé du cours « Technologie des matériaux », cours obligatoire dans le cursus des futurs ingénieurs en génie mécanique. Il a travaillé chez SGS CANADA inc., où il a participé à plus de 200 cas d'analyses métallurgiques, d'expertises légales et d'études de cas portant sur des équipements de l'industrie de la production de l'acier et de l'aluminium et sur des produits finis. M. Szymanski est formateur en métallurgie depuis plus de sept ans. Ses formations couvrent l'ensemble du domaine des matériaux métalliques, de la corrosion aux traitements thermiques, en passant par des formations permettant l'obtention de différents niveaux de certification ONGC ou CWB (Bureau canadien de soudage).

     

    Coût : 950 $

  • 550, rue Sherbrooke Ouest, Tour Est, bureau 300, Université Laval | Montréal
    Description

    Numéro de l'activité : MNG-U173

    Nombre d’unités d’éducation continue (UEC) : 1.5

    Durée : 2 jours

     

    Objectifs :

    Les principaux objectifs de cette activité de formation sont de répondre aux questions suivantes : pourquoi parle-t-on tant du coaching aujourd’hui ; qu'est-ce qui différencie la gestion d’aujourd’hui de celle d’hier dans les équipes de projets ; comment l’ingénieur gestionnaire d’expérience, ou en devenir, peut-il intégrer dans son approche les diverses techniques de coaching ; comment doit-on fixer des objectifs afin qu’ils soient pertinents et mobilisants dans ses projets d’ingénierie ; comment peut-on utiliser l’écoute active et les feedbacks percutants pour atteindre les objectifs. Le coaching est traité comme étant un outil de gestion permettant de travailler de concert avec les divers intervenants d'un projet afin de maximiser l’atteinte des résultats et assurer le succès.

     

    Contenu :

    Ce concept personnalisé et adapté pour ingénieur vous permettra de :

    • Mieux comprendre le coaching et son approche dans un poste d'ingénieur-chargé(e) de projets ;
    • Développer des compétences-clés de coaching ;
      - établir des objectifs communs
      - instaurer une relation fructueuse
      - communiquer efficacement
      - susciter des apprentissages et des résultats
    • Susciter une évolution des modes de supervision en ingénierie ;
    • Appliquer concrètement les compétences acquises par le biais d'un coaching de groupe.

     

    Coût :

    • 950 $
  • Pavillon Desjardins, local 3342, Université Laval, Québec
    Description

    Numéro de l'activité : MNG-U173

    Nombre d’unités d’éducation continue (UEC) : 1.5

    Durée : 2 jours

     

    Objectifs :

    Les principaux objectifs de cette activité de formation sont de répondre aux questions suivantes : pourquoi parle-t-on tant du coaching aujourd’hui ; qu'est-ce qui différencie la gestion d’aujourd’hui de celle d’hier dans les équipes de projets ; comment l’ingénieur gestionnaire d’expérience, ou en devenir, peut-il intégrer dans son approche les diverses techniques de coaching ; comment doit-on fixer des objectifs afin qu’ils soient pertinents et mobilisants dans ses projets d’ingénierie ; comment peut-on utiliser l’écoute active et les feedbacks percutants pour atteindre les objectifs. Le coaching est traité comme étant un outil de gestion permettant de travailler de concert avec les divers intervenants d'un projet afin de maximiser l’atteinte des résultats et assurer le succès.

     

    Contenu :

    Ce concept personnalisé et adapté pour ingénieur vous permettra de :

    • Mieux comprendre le coaching et son approche dans un poste d'ingénieur-chargé(e) de projets ;
    • Développer des compétences-clés de coaching ;
      - établir des objectifs communs
      - instaurer une relation fructueuse
      - communiquer efficacement
      - susciter des apprentissages et des résultats
    • Susciter une évolution des modes de supervision en ingénierie ;
    • Appliquer concrètement les compétences acquises par le biais d'un coaching de groupe.

     

    Coût :

    • 950 $
  • Pavillon La Laurentienne, local 2416-1430, Université Laval, Québec
    Description

    Numéro de l'activité : GMC-U007

    Nombre d’unités d’éducation continue (UEC) : 2.1

    Durée : 3 jours

     

    Objectifs :

    La formation permet d’acquérir les notions de base indispensables et permet notamment d’éviter de laisser la responsabilité de la conception du soudage aux seuls soudeurs ou entrepreneurs en soudage. À la fin de la formation, les professionnels sont en mesure de savoir utiliser le vocabulaire associé aux assemblages soudés. Ils ont acquis les notions fondamentales de la métallurgie du soudage et connaissent les principaux défauts de soudage afin de pouvoir mieux spécifier leurs exigences de conception. Aussi, les différentes techniques d’inspection des assemblages soudés sont présentées.

     

    Contenu :


    Jour 1


    Introduction

     

    • Contexte : domaine du soudage en général

     

    Notions de base

    • Terminologie du soudage
    • Assemblage et joints de base
    • Présentation des principaux procédés de soudage
    • Différents symboles de soudage

     

    Métallurgie du soudage

    • Notions fondamentales de métallurgie
    • Spécifications des matériaux utilisés lors du soudage
    • Métallurgie du soudage (zone fondue, zone affectée thermiquement, métal de base)
    • Notions de déformations et de contraintes résiduelles en raison du soudage

     

     

    Jour 2


    Causes et conséquences des défauts en soudage

     

    • Présentation des différents défauts de soudage
    • Présentation des principales causes de ces défauts
    • Études de cas illustrant les conséquences de la présence de défauts dans les assemblages

    Techniques d'inspection des assemblages soudés

    • Les différentes tâches de l'inspecteur en soudage (communément nommé inspecteur visuel)
    • Essais de caractérisation pouvant être réalisés sur site extérieur (mesure de dureté ou analyse métallographique à l'aide de réplique)
    • Liquide pénétrant ou ressuage
    • Particules magnétiques ou magnétoscopie
    • Techniques ultrasonores (classique ou à multiélément (phased-array))
    • Radiographie
    • Essais mécaniques pouvant être exigés pour la qualification d'une procédure, d'un soudeur ou pour le contrôle de la qualité de la production (traction, pliage, macrographie, etc.)

     

    Jour 3


    Spécification de mode opératoire de soudage (SMOS ou procédure de soudage)

     

    • Mode opératoire de soudage et étape de qualification d'une procédure
    • Feuille de données de procédure de soudage (FDMOS)
    • Cas particuliers des normes CSA W47.1 et W59 et du code ASME

    Normes de soudage

    • CSA W47.1 et CSA W59.1 (soudage de structure en acier)
    • CSA W47.2 et CSA W59.2 (soudage de structure en aluminium)
    • AWS D1.1 (similarités et différences par rapport à la norme CSA W59)
    • CSA G40.20/G40.21 (spécification sur les aciers de construction)
    • Les différentes sections du code ASME
    • Interaction entre les différentes normes se rapportant au soudage

     

    Étude des cas

     

    Formateur :

    • Alexandre Szymanski, ing., M. ing.

    Ingénieur en matériaux, Alexandre Szymanski détient une maîtrise en génie mécanique de l'ETS où il y a œuvré en tant que chargé du cours « Technologie des matériaux », cours obligatoire dans le cursus des futurs ingénieurs en génie mécanique. Il a travaillé chez SGS CANADA inc., où il a participé à plus de 200 cas d'analyses métallurgiques, d'expertises légales et d'études de cas portant sur des équipements de l'industrie de la production de l'acier et de l'aluminium et sur des produits finis. M. Szymanski est formateur en métallurgie depuis plus de sept ans. Ses formations couvrent l'ensemble du domaine des matériaux métalliques, de la corrosion aux traitements thermiques, en passant par des formations permettant l'obtention de différents niveaux de certification ONGC ou CWB (Bureau canadien de soudage).

     

    Coût :

    • 1 350 $
  • Pavillon La Laurentienne, local 2416-1430, Université Laval, Québec
    Description

    Numéro de l'activité : GMC-U007

    Nombre d’unités d’éducation continue (UEC) : 2.1

    Durée : 3 jours

     

    Objectifs :

    La formation permet d’acquérir les notions de base indispensables et permet notamment d’éviter de laisser la responsabilité de la conception du soudage aux seuls soudeurs ou entrepreneurs en soudage. À la fin de la formation, les professionnels sont en mesure de savoir utiliser le vocabulaire associé aux assemblages soudés. Ils ont acquis les notions fondamentales de la métallurgie du soudage et connaissent les principaux défauts de soudage afin de pouvoir mieux spécifier leurs exigences de conception. Aussi, les différentes techniques d’inspection des assemblages soudés sont présentées.

     

    Contenu :

     

     

    Jour 1


    Introduction

     

    • Contexte : domaine du soudage en général

     

    Notions de base

    • Terminologie du soudage
    • Assemblage et joints de base
    • Présentation des principaux procédés de soudage
    • Différents symboles de soudage

     

    Métallurgie du soudage

    • Notions fondamentales de métallurgie
    • Spécifications des matériaux utilisés lors du soudage
    • Métallurgie du soudage (zone fondue, zone affectée thermiquement, métal de base)
    • Notions de déformations et de contraintes résiduelles en raison du soudage

     

     

    Jour 2


    Causes et conséquences des défauts en soudage

     

    • Présentation des différents défauts de soudage
    • Présentation des principales causes de ces défauts
    • Études de cas illustrant les conséquences de la présence de défauts dans les assemblages

    Techniques d'inspection des assemblages soudés

    • Les différentes tâches de l'inspecteur en soudage (communément nommé inspecteur visuel)
    • Essais de caractérisation pouvant être réalisés sur site extérieur (mesure de dureté ou analyse métallographique à l'aide de réplique)
    • Liquide pénétrant ou ressuage
    • Particules magnétiques ou magnétoscopie
    • Techniques ultrasonores (classique ou à multiélément (phased-array))
    • Radiographie
    • Essais mécaniques pouvant être exigés pour la qualification d'une procédure, d'un soudeur ou pour le contrôle de la qualité de la production (traction, pliage, macrographie, etc.)

     

    Jour 3


    Spécification de mode opératoire de soudage (SMOS ou procédure de soudage)

     

    • Mode opératoire de soudage et étape de qualification d'une procédure
    • Feuille de données de procédure de soudage (FDMOS)
    • Cas particuliers des normes CSA W47.1 et W59 et du code ASME

    Normes de soudage

    • CSA W47.1 et CSA W59.1 (soudage de structure en acier)
    • CSA W47.2 et CSA W59.2 (soudage de structure en aluminium)
    • AWS D1.1 (similarités et différences par rapport à la norme CSA W59)
    • CSA G40.20/G40.21 (spécification sur les aciers de construction)
    • Les différentes sections du code ASME
    • Interaction entre les différentes normes se rapportant au soudage

     

    Étude des cas

     

    Formateur :

    • Alexandre Szymanski, ing., M. ing.

    Ingénieur en matériaux, Alexandre Szymanski détient une maîtrise en génie mécanique de l'ETS où il y a œuvré en tant que chargé du cours « Technologie des matériaux », cours obligatoire dans le cursus des futurs ingénieurs en génie mécanique. Il a travaillé chez SGS CANADA inc., où il a participé à plus de 200 cas d'analyses métallurgiques, d'expertises légales et d'études de cas portant sur des équipements de l'industrie de la production de l'acier et de l'aluminium et sur des produits finis. M. Szymanski est formateur en métallurgie depuis plus de sept ans. Ses formations couvrent l'ensemble du domaine des matériaux métalliques, de la corrosion aux traitements thermiques, en passant par des formations permettant l'obtention de différents niveaux de certification ONGC ou CWB (Bureau canadien de soudage).

     

    Coût :

    • 1 350 $
  • Université Laval, Québec
    Description

    Numéro de l'activité : GEL-U002

    Nombre d’unités d’éducation continue (UEC) : 1.5

    Durée : 2 jours

     

    Objectifs :

    Les objectifs de la formation sont : de maîtriser et d'utiliser le vocabulaire associé à la régulation de base et avancée ; de déterminer le modèle dynamique d’un système ; de comprendre le fonctionnement et les différentes particularités des régulateurs PID ; d'effectuer le réglage d’un régulateur PID ; d'analyser les performances d’une boucle de régulation ; de comprendre et de concevoir les principales commandes avancées pour les systèmes monovariables et multivariables ; d'obtenir des réponses relatives à ses questionnements sur la régulation PID.

     

    Formateurs :

    • André Desbiens, ing., B.Sc.A., Ph.D.

    André Desbiens détient un baccalauréat en génie physique et un doctorat en génie électrique de l’Université Laval. Depuis 1995, il est professeur au Département de génie électrique et de génie informatique de cette même université. Toutes ses activités de recherche et les cours sous sa responsabilité sont reliés à l’étude des systèmes dynamiques et de la commande automatique. Au fil des ans, les domaines où il a œuvré en recherche sont très variés : traitement des minerais, pâtes et papier, bioprocédés, réseaux d’assainissement des eaux, médecine, robotique mobile (drones et véhicules terrestres), lanceurs de satellites, projectiles d’artillerie, etc. Ses enseignements couvrent également plusieurs sujets : systèmes et commandes linéaires et non linéaires, continus et numériques, monovariables et multivariables, commande prédictive, techniques d’optimisation, identification des systèmes, etc. Il est l’auteur ou coauteur de plus d’une centaine de publications scientifiques internationales (journaux et conférences).

     

    • Éric Poulin, ing., B.Sc.A., Ph.D.

    Spécialiste en commande automatique de procédés industriels, Éric Poulin détient un baccalauréat et un doctorat en génie électrique de l’Université Laval. De 1997 à 2005, il été à l’emploi de la firme de génie-conseil BBA au sein du département d’automatisation et commande de procédés. Il a agi à titre de directeur de projet et de responsable du groupe de commande avancée. Par la suite, de 2005 à 2007, il a été directeur du développement logiciel pour Algosys (maintenant Triple Point Technology), une compagnie commercialisant des applications spécialisées en bilan de matière et en comptabilité métallurgique. Depuis 2007, il est professeur au Département de génie électrique et de génie informatique de l’Université Laval. Ses expériences de travail et ses projets de recherche lui ont permis d’acquérir une solide expérience dans l’industrie de la transformation de la matière, notamment dans le secteur de la métallurgie et du traitement des minerais.

     

    Coût :

    950 $

  • Pavillon Pouliot, local 3114, Université Laval, Québec
    Description

    Numéro de l'activité : GEL-U002

    Nombre d’unités d’éducation continue (UEC) : 1.5

    Durée : 2 jours

     

    Objectifs :

    Les objectifs de la formation sont : de maîtriser et d'utiliser le vocabulaire associé à la régulation de base et avancée ; de déterminer le modèle dynamique d’un système ; de comprendre le fonctionnement et les différentes particularités des régulateurs PID ; d'effectuer le réglage d’un régulateur PID ; d'analyser les performances d’une boucle de régulation ; de comprendre et de concevoir les principales commandes avancées pour les systèmes monovariables et multivariables ; d'obtenir des réponses relatives à ses questionnements sur la régulation PID.

     

    Formateurs :

    • André Desbiens, ing., B.Sc.A., Ph.D.

    André Desbiens détient un baccalauréat en génie physique et un doctorat en génie électrique de l’Université Laval. Depuis 1995, il est professeur au Département de génie électrique et de génie informatique de cette même université. Toutes ses activités de recherche et les cours sous sa responsabilité sont reliés à l’étude des systèmes dynamiques et de la commande automatique. Au fil des ans, les domaines où il a œuvré en recherche sont très variés : traitement des minerais, pâtes et papier, bioprocédés, réseaux d’assainissement des eaux, médecine, robotique mobile (drones et véhicules terrestres), lanceurs de satellites, projectiles d’artillerie, etc. Ses enseignements couvrent également plusieurs sujets : systèmes et commandes linéaires et non linéaires, continus et numériques, monovariables et multivariables, commande prédictive, techniques d’optimisation, identification des systèmes, etc. Il est l’auteur ou coauteur de plus d’une centaine de publications scientifiques internationales (journaux et conférences).

     

    • Éric Poulin, ing., B.Sc.A., Ph.D.

    Spécialiste en commande automatique de procédés industriels, Éric Poulin détient un baccalauréat et un doctorat en génie électrique de l’Université Laval. De 1997 à 2005, il été à l’emploi de la firme de génie-conseil BBA au sein du département d’automatisation et commande de procédés. Il a agi à titre de directeur de projet et de responsable du groupe de commande avancée. Par la suite, de 2005 à 2007, il a été directeur du développement logiciel pour Algosys (maintenant Triple Point Technology), une compagnie commercialisant des applications spécialisées en bilan de matière et en comptabilité métallurgique. Depuis 2007, il est professeur au Département de génie électrique et de génie informatique de l’Université Laval. Ses expériences de travail et ses projets de recherche lui ont permis d’acquérir une solide expérience dans l’industrie de la transformation de la matière, notamment dans le secteur de la métallurgie et du traitement des minerais.

     

    Coût : 950 $

     

  • 6550, chemin de la Côte-de-Liesse, Montréal
    Description
    • Les origines et le rôle du BSDQ
    • Le fonctionnement de l'organisation
    • Les raisons d'utilisation du BSDQ pour les entrepreneurs et les maîtres de l'ouvrage
    • Le Code de soumission et les conditions d'application
    • Les spécialités assujetties
    • Le processus de dépôt
    • L'octroi du contrat
    • Les plaintes