Victoriaville, ville entrepreneuriale par excellence

Selon la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI), la Ville de Victoriaville serait le meilleur endroit pour se lancer en affaires au Québec.

« Permis d'occupation ou de construction, règles sur l'affichage, permis de terrasse, stationnement, parcomètres, etc., ne sont que quelques exemples de réglementation municipale qui peuvent représenter des irritants importants dans le quotidien des entrepreneurs.

 

L'environnement d'affaires local est influencé par les opportunités, la fiscalité et plusieurs autres facteurs, mais tout ce qui est lié à la réglementation doit aussi être considéré lorsqu'on cherche à savoir s'il est facile ou pas de faire des affaires dans une municipalité. C'est ce que nous avons voulu creuser », affirme Martine Hébert, vice-présidente principale et porte-parole nationale de la FCEI.

 

Top 10 des 100 plus grandes villes du Québec


En s'appuyant sur un indice qui couvre trois grandes catégories - accès à l'information, qualité de l'information et cadre réglementaire en vigueur (nombre de permis, coût, délais, etc.) -, la FCEI a classé les 100 plus grandes villes du Québec en fonction des contraintes qu'elles imposent ainsi que de leurs atouts et de leurs faiblesses en matière de réglementation.

 

 

Rang

Ville

Note globale

(sur 100)

1er

Victoriaville

68

2e

Cowansville

67

3e

Thetford Mines

65

4e

Rivière-du-Loup

63

5e

L'Assomption

62

6e

Rimouski

60

7e

Magog

59

8e

Sainte-Marie

58

9e

Sorel-Tracy

51

10e

Blainville

50

 

Selon la FCEI, des améliorations simples et concrètes peuvent être apportées par les villes pour faciliter leurs rapports avec les entreprises qui assurent la vitalité sur leur territoire. Simplifier la réglementation, rendre l'information accessible et claire sur une page web, proposer un guichet unique pour les demandes de permis, considérer d'abord les solutions non réglementaires : voilà quelques exemples des bonnes pratiques et des recommandations que propose l'organisme.

 

 

Source : Fédération canadienne de l'entreprise indépendante