Un peu comme lorsque l’on doit consolider un bâtiment quand on en retire un mur de soutien, il a fallu réorganiser notre équipe de recherchistes lorsque Lucie Mignault –véritable pilier, bible vivante du journal Constructo – nous a récemment annoncé son départ pour la retraite.
Certes, personne n’est indispensable, souligne-t-elle elle-même. Mais force est de constater que certaines personnes le sont peut-être plus que d’autres. C’est le cas de Lucie qui assurait, jusqu’à cette édition-ci, l’entrée des appels d’offres et des projets dans les pages de la publication de même que diverses fonctions liées à la production du journal avec le vœu et le sentiment d’être concrètement utile aux entrepreneurs. Et ce, depuis plus de 30 ans. Toute une réalisation !
Et toute une personne, toute une amie devrions-nous écrire, que cette femme dévouée, assidue, polyvalente, travaillante, compétente comme quatre et généreuse comme pas une. Que demander de plus ? D’attachants gênes du Bas-Saint-Laurent avec, en prime, des conseils de sage et un fabuleux sucre à la crème. Oh ! qu’elle nous manquera !
Celle pour qui, de la photocomposition aux claviers quasi virtuels, l’entrée de données et les journées de montage n’ont pour ainsi dire jamais eu de secret effectue sa sortie. Un chant du cygne ? Bien voyons ! Une retraite combien méritée qui s’annonce fort bien remplie. Une nouvelle étape de sa vie, un changement majeur qu’elle aborde avec fébrilité, mais sérénité. Et d’innombrables souvenirs de vie auprès de collègues présents et passés. Avec, dans la peau, l’ambiance si particulière qui règne chez Constructo, cette atmosphère familiale et enjouée à laquelle elle a grandement contribué.
Bonne retraite à toi, Lucie, et un gros merci !
L’équipe de Constructo