Infrastructures de Québec – Une saison estivale sous le signe des chantiers !

La saison estivale qui commence sera parmi les plus importantes pour le nombre de chantiers qui seront réalisés dans la Ville de Québec. Depuis la mi-avril jusqu’à la mi-novembre, c’est près d’un chantier par jour ouvrable qui sera entrepris dans les rues de Québec.

 

La Ville prévoit réaliser plus de 220 chantiers de réfection de ses infrastructures souterraines et routières, et ce, pour des investissements de 150 millions $.

 

Des investissements d’importance

Le programme triennal d’immobilisations prévoit cette année des investissements de plus de 150 millions $ dans les infrastructures de voirie, d’aqueduc et d’égouts.

 

La part du lion sera consacrée à la pérennité des infrastructures souterraines et à la réalisation de projets spéciaux pour un montant de 110 millions $. Parmi ces projets, il faut noter l’ajout de 24 débitmètres sur le réseau d’aqueduc, projet qui découle directement de l’audit sur l’aquaresponsabilité et la construction d’un barrage de régulation de crues sur le ruisseau Montchâtel.

 

Mobilité durable

Au chapitre de la mise en œuvre du Plan de mobilité durable, la Ville débutera cette année la mise en place des infrastructures nécessaires à la signalisation et au jalonnement dynamique des parcs de stationnement ainsi que ceux requis par le projet « Nomade » du RTC. Il est prévu également la poursuite des travaux d’aménagement du corridor cyclable Père-Marquette, le « vélo-boulevard », et la construction de près de 12,5 km de pistes cyclables.

 

Poursuite du Programme d’entretien planifié des chaussées (PEPC)

Lancé en 2009, le programme PEPC visait à stopper la dégradation du revêtement des chaussées. À la fin de la présente saison, ce sera près de 195 km de chaussées dont le pavage aura été réhabilité.

 

Le PEPC est un programme simple et efficace de planage et de surfaçage du revêtement bitumineux des chaussées. En utilisant cette approche, la Ville vient préserver la solidité structurale des fondations et s’évite des réparations futures plus coûteuses.

 

Source : Ville de Québec