BâtiGuide - Le répertoire des professionnels de la construction au Québec

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  • CIMA+ reçoit près de 850 000 $ pour la formation de ses employés

    Le Gouvernement du Québec attribut une somme de 847 187 $ à la firme d'ingénierie CIMA+ pour former des travailleurs en développement durable.

    Cette somme vise à mettre en place un vaste programme de formation en matière de développement durable pour les 1 500 travailleuses et travailleurs actuels et pour 115 nouvelles personnes qui seront embauchées par l’entreprise.

     

    Ce nouveau programme de formation permettra à l'ensemble des employés de CIMA+ de parfaire leurs connaissances notamment sur la résilience des infrastructures, sur l'approvisionnement durable et l'empreinte carbone, sur l'environnement ainsi que sur la modélisation des données de bâtiment (BIM). Un des volets prévus à la formation a aussi pour objectif de mieux outiller les gestionnaires pour contrer la pénurie de main-d'œuvre.

     

    Ce soutien financier s'inscrit dans le cadre de la Mesure de formation de la main-d'œuvre, volet Entreprises, qui vise à soutenir le développement des compétences et à maintenir les expertises en place au sein des entreprises.

     

    Source : Cabinet du ministre du Travail, de l'Emploi et de la Solidarité sociale et ministre de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration

  • Prolongement de la ligne bleue : la STM lance un avis de qualification

    La Société de transport de Montréal (STM) a lancé un avis de qualification pour la construction du tunnel du prolongement de la ligne bleue du métro de Montréal.

    L’excavation du tunnel qui reliera les cinq nouvelles stations de métro de la ligne bleue se fera principalement par tunnelier. Cet équipement spécialisé sera aussi utilisé pour l’installation des voussoirs de béton préfabriqué du tunnel.

     

    Avec une cadence moyenne estimée de 13 à 15 mètres par jour, cette méthode d’excavation et de construction des tunnels permet une exécution plus rapide des travaux que les méthodes traditionnelles, ce qui contribuera au respect de l’échéancier. Le tunnelier comporte aussi l’avantage d’être moins perceptible par le voisinage en surface tout en causant moins de bruit et de vibrations.

     

    L’excavation du tunnel du prolongement de la ligne bleue se fera principalement par tunnelier. Crédit : STM

     

    Le recours à cet équipement spécialisé offre également des résultats durables et la STM estime que les parois du tunnel seront beaucoup plus étanches, grâce aux voussoirs de béton préfabriqués qui seront installés au fur et à mesure de l’avancement des travaux.

     

    L’inauguration de ce nouveau tronçon de la ligne bleue est prévue en 2029.

     

    Source : STM

  • Siège social de la Banque Nationale : un projet d’avant-garde aux retombées multiples

    En chantier depuis novembre 2018, le nouveau siège social de la Banque Nationale s’impose par son architecture audacieuse et son utilisation unique du BIM qui jettera de nouvelles bases pour la gestion des actifs.

    Avec ses 40 étages, le nouveau siège social de la Banque Nationale sera une des plus hautes tours de bureaux de Montréal. D’une superficie de plus de 100 000 mètres carrés, l’édifice situé au 800, rue Saint-Jacques Ouest comprendra un centre d’affaires de la Banque Nationale, un centre de conférences, une cafétéria sur deux niveaux, une garderie et un centre d’entrainement, en plus de 400 stationnements de vélos et 80 bornes pour voitures électriques. Pour compléter le tout, un jardin extérieur culminera à quelque 180 mètres de hauteur, au 40e étage.

     

    Dans un récent communiqué, Menkès Shooner Dagenais LeTourneux Architectes dresse un bilan de mi-parcours des plus positifs du projet, estimant que cette réalisation tombe à point nommé pour contribuer à la revitalisation de la métropole et de son centre-ville. Les espaces modernes et lumineux proposés par la firme accueilleront quelque 10 000 employés de l’institution financière. L’aménagement d’un parc urbain de plus de 12 000 m2 adjacent au nouvel immeuble, qui sera accessible tant aux employés qu’au public, contribuera lui aussi à dynamiser le secteur par l’ajout d’un espace vert d’envergure.

     

    Pour BIM One, qui épaule la Banque Nationale à titre de conseiller stratégique BIM, ce projet constitue une grande avancée pour le BIM vers la gestion d’actifs. « La réussite de ce projet tire pleinement profit de la modélisation des données du bâtiment pour alimenter un jumeau numérique », explique Jean-François Lapointe, vice-président services-conseils de la firme dans un article publié récemment sur les réseaux sociaux.  Franck Murat, directeur expertise BIM/VDC chez BIM One, donne également des précisions sur l’ampleur de ce déploiement : « L’ensemble de la donnée générée, consultée, exploitée et mise à jour [sera] rendu accessible en contexte et disponible pour l’ensemble des systèmes et solutions déployées (GMAO, GTB, gestion des espaces) pour exploiter et entretenir son actif, voire pour gérer son parc complet dans une approche intégrée de gestion d’actifs. »

     

    Ce projet vise par ailleurs la certification LEED v4 NC de niveau Or de même que la certification WELL v2 Argent. Il sera complété au printemps 2023.

     

    Équipe de projet :

     

    • Accompagnement dans la gestion du projet : DECASULT
    • Architecture : Menkès Shooner Dagenais LeTourneux Architectes
    • Entrepreneur général et maitre d’œuvre :  Broccolini
    • Génie structural : WSP
    • Génie électromécanique : Bouthillette Parizeau | Pageau Morel
    • Génie civil : Marchand Houle et associés
    • Entrepreneur en structure : Pomerleau
    • Architecture du paysage : Claude Cormier et associés
  • Élection à l’APCHQ – Région de Québec

    L’assemblée générale annuelle qui avait lieu cette semaine a permis l’élection des représentants du conseil d’administration pour l’année 2022-2023 ainsi que la nomination d’un nouveau président de l’association régionale.

    Les membres du conseil d’administration ont nommé Carl Bolduc (Filtre Plus) à la fonction de 44e président de l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ). Il succède ainsi à Luc-Antoine Boivin (Boivin Construction), qui occupait ce poste depuis 2019.

     

    Tout en remerciant les entrepreneurs présents pour leur confiance, M. Bolduc, qui compte déjà plus de 10 ans d’implication au sein du conseil d’administration de l’APCHQ – Région de Québec, a annoncé les enjeux qui lui tiennent à cœur : « Je pense particulièrement à la pénurie de main-d’œuvre que nous vivons tous actuellement. Je suis d’avis que l’entretien de nos liens avec les établissements scolaires et l’octroi de bourses de persévérance ainsi que des activités de réseautage sont des projets porteurs qu’il faut maintenir. »

     

    Le conseil d’administration 2022-2023 sera composé de Karine St-Pierre (Construction St-Pierre Roseberry), Christian Marcoux (Christian Marcoux cuisine et mobilier design), Jonathan Simard (Cas par Cas), Michelle Thivierge (MTA), Sabrina Pelletier (Pelletier Déco Surfaces), Raynald Bédard (Solutions Gestion Design) et George Blouin (Synchro Immobilier).

     

    Source : APCHQ

  • 20 avril 2022
    Par Jean Garon

    Le nouveau pont Jacques-Bizard qui remplacera l’ancien pont qui relie l’ile de Montréal à l’ile Bizard vient d’être mis en chantier. Cet ouvrage confié à l’entrepreneur EBC pour un montant de 67,8 millions $ plus taxes devrait être livré vers la fin de 2023.

    Le nouveau pont sera construit à quelques mètres à l’est du pont actuel, au-dessus de la rivière des Prairies, dans l’arrondissement de L’Île-BizardSaint-Geneviève. Les travaux s’étendront jusqu’aux approches sud et nord entre le boulevard Gouin (ile de Montréal) et la rue Cherrier (L’Île-Bizard), incluant le parc Denis-Benjamin-Viger.

     

    L’ouvrage sera constitué d’une structure continue à cinq travées de 232 mètres de longueur (travée la plus longue de 67 mètres). Le tablier sera formé d’une charpente d’acier composite avec une dalle en béton. Le pont sera composé de huit poutres en acier d’une hauteur variant de 1,6 à 2,6 mètres. Le profil de la chaussée du pont projeté sera similaire à celui du pont existant. Les dimensions des poutres sont dictées par l’épaisseur du tablier du pont existant afin de conserver le même tirant d’air pour permettre le passage des navires.

     

    Les poutres seront assemblées et mises en place en utilisant des barges. Une jetée sera aménagée à l’approche de L’Île-Bizard afin de permettre la mise à l’eau des barges et le transport des matériaux. Aucuns travaux ne pourront être réalisés à partir du pont existant, ce dernier étant à capacité limitée et devant demeurer ouvert pour les usagers en tout temps durant les travaux.

     

    Les piles projetées seront positionnées suivant les mêmes axes que celles du pont existant afin de faciliter l’écoulement de l’eau et des glaces. Les piles seront construites en béton armé et auront une forme en continuité avec les piles du pont existant tout en offrant un design sobre et actuel. Les unités de fondation seront entièrement coulées sur place, de même que la dalle du tablier.

     

    Le nouveau pont bénéficiera de plusieurs aménagements paysagers signés par la firme Vlan Paysage. Des restrictions environnementales sont imposées au projet afin de minimiser le déboisement et d’assurer la protection de la faune riveraine et aquatique.  Illustration : SN- Lavalin / Provencher_Roy

     

    Le pont supportera deux voies de circulation dans chaque direction, un trottoir d’une largeur de 3,0 mètres du côté aval et une piste cyclable d’une largeur de 5,2 mètres du côté amont. Des bacs de plantation préfabriqués en béton seront déposés sur des socles en granite d’une largeur totale de 1,05 mètre. Ils seront déposés sur le trottoir et la piste cyclable, délimitant ainsi l’espace disponible pour les piétons et cyclistes et agrémentant l’expérience pour les divers usagers tout en offrant des zones de plantation.

     

    L’ouvrage sera complété par l’installation d’une bordure en granite de part et d’autre des voies ainsi que des garde-corps et des lampadaires. Il comprendra également un belvédère composé d’un caillebotis afin que les usagers puissent voir l’eau s’écouler sous le pont, tout en évitant le déneigement en hiver.

     

    Selon un porte-parole de la Ville de Montréal, la conception de l’ouvrage par les architectes de Provencher_Roy et les ingénieurs de SNC-Lavalin prévoit une durée de vie de 100 ans au nouveau pont. Une attention particulière a été portée à cette fin au choix des matériaux et aux détails de jonction entre les divers éléments, en plus d’autres mesures d’entretien pour atténuer les processus de dégradation du béton et de l’acier.

     

    D’autres travaux en parallèle

    D’autres travaux seront réalisés en parallèle par l’Arrondissement visant l’installation d’infrastructures urbaines pour desservir les résidents de L’Île-Bizard. Il s’agit de la construction d’un collecteur sanitaire de 2,2 X 1,8 mètres dans le roc sous les fondations du nouveau pont. À cela s’ajoutera une conduite d’eau potable de 600 mm de diamètre sous la structure de l’ouvrage, laquelle sera isolée et chauffée pour la protéger du gel. Des lignes d’alimentation en électricité et de télécommunications seront également installées sous la structure du pont. Ces travaux comprendront finalement le réaménagement du parc riverain Denis-Benjamin-Viger, la plantation d’arbres et de végétaux et un écran antibruit.

     

    Le tout devrait être complété au printemps 2024. La facture de l’ensemble des travaux devrait donc totaliser 82,4 millions $, taxes incluses.

    Cet article est paru dans l’édition du 7 avril 2022 du journal Constructo. Pour un accès privilégié à l’ensemble des contenus et avant-projets publiés par Constructo, abonnez-vous.

  • 23 mars 2022
    Par Diane Martin-Graser

    Six organisations liées à l’industrie de la construction ont mandaté la firme Raymond Chabot Grant Thornton (RCGT) pour effectuer un état des lieux sur les relations d’affaires entre les entrepreneurs, les professionnels de l’industrie et les marchés publics.

    Après de nombreux sondages, la firme a cerné de manière détaillée les facteurs ayant entrainé une baisse d’intérêt des entrepreneurs quant aux appels d’offres publics. Quelles en sont les véritables causes ? Retour sur une étude pertinente visant à améliorer les relations entre les parties prenantes.

     

    Si le secteur public de la construction a connu une période d’effervescence entre 2015 et 2019, celui-ci rencontre actuellement des embuches quant à l’intérêt que suscitent les appels d’offres auprès des entrepreneurs et des professionnels. Face à ce contexte, les organisations telles que l’Association de la construction du Québec (ACQ), l’Association des constructeurs de routes et grands travaux du Québec (ACRGTQ), l’Association des architectes en pratique privée du Québec (AAPPQ), l’Association québécoise des entrepreneurs en infrastructure (AQEI), la Corporation des entrepreneurs généraux du Québec (CEGQ) ainsi que l’Association des firmes de génie-conseil du Québec (AFG) cherchent à comprendre les enjeux auxquels doivent faire face les acteurs de la construction. Ces associations d’entrepreneurs et de professionnels trouvent des réponses dans l’étude qu’a effectuée RCGT, experte en audit et conseils.

     

    Un constat significatif

    Près de 700 répondants ont participé à l’étude. Selon le rapport, 72 % des entrepreneurs et 82 % des professionnels ont écarté les projets publics pour plutôt mobiliser leurs effectifs sur des chantiers aux conditions qui leur paraissaient plus favorables. Avec les marchés publics, ils se disent confrontés à des retards de paiement et des clauses abusives susceptibles d’entrainer une éventuelle faillite, car incapables de payer leurs salariés et leurs fournisseurs. En parallèle, le tarif des honoraires des professionnels appliqué par les instances gouvernementales est demeuré inchangé depuis les années 80. L’indexation des montants alloués aux travaux semble, aux yeux des architectes et des ingénieurs, fondamentale afin de mieux refléter le marché actuel. Également, la rareté de la main-d’oeuvre semble être un élément capital dans la capacité à soumissionner ou non.

     

    Jean-Philippe Brosseau, expert et économiste de l’équipe de conseil en transformation des affaires chez Raymond Chabot Grant Thornton. Crédit : Guillaume Millette

     

    Comme dans d’autres secteurs de l’économie, la pandémie mondiale a imposé un ralentissement brutal des activités. Au sujet des perturbations d’approvisionnement découlant de la COVID-19, Jean-Philippe Brosseau, directeur principal chez Raymond Chabot Grant Thornton, estime que « la volatilité du prix des matériaux crée des incertitudes dans les relations d’affaires entre les parties ». Aucune clause d’ajustement des prix n’est prévue dans les appels d’offres en cas de retard de livraison.

     

    L’entrepreneur porte seul le risque financier lié à cette inflexibilité de la part du donneur d’ouvrage. Il note un manque de considération à cet égard, lui qui se trouve à compenser les pertes en plus d’avoir à subir des pénalités de retard. En somme, la hausse des prix applicables à la difficulté d’approvisionnement et la rareté de la main-d’oeuvre sont des éléments à considérer sérieusement.

     

    Les municipalités dans la mire

    Parmi les donneurs d’ouvrages publics touchés par ce phénomène, les municipalités apparaissent au haut du podium. À l’unanimité, les trois groupes de répondants placent celles-ci au premier rang : 51 % pour les professionnels, 24 % pour les entrepreneurs spécialisés et 13 % pour les entrepreneurs du génie civil. Caroline Amireault, directrice générale de l’AQEI, évoque le manque d’harmonisation entre ces donneurs d’ouvrages : « Les documents d’appels d’offres diffèrent d’une entité à l’autre. D’emblée, cela complexifie le processus d’affaires et certains n’ont pas les ressources adéquates pour faire des appels d’offres. »

     

    Caroline Amireault, directrice générale de l’Association Québécoise des Entrepreneurs en Infrastructure (AQEI). Crédit : Guillaume Millette

     

    Par ailleurs, les grandes villes comme Montréal doivent faire face à des problématiques organisationnelles comme la délégation de pouvoir décisionnel ou les délais d’autorisation qui peuvent mener à des problèmes d’imputabilité. De plus, dans la réalisation d’un projet de construction, les processus d’ordres de changement sont un irritant majeur qui imposent à l’entrepreneur de réaliser ses travaux sans même que le prix n’ait été préalablement fixé. « Pour cela, il n’y pas de situation idéale », ajoute Caroline Amireault.

     

    Vers un nouveau départ ?

    L’étude cherche des solutions qui visent à rétablir un climat de confiance et de collaboration. Avec le rapport en main, les six associations se sont adressées à plusieurs donneurs d’ouvrages comme le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation, le ministère des Transports du Québec et la Société québécoise des infrastructures. Ces derniers se sont montrés sensibles à la situation et se sont dit ouverts au dialogue.

     

    Caroline Amireault se veut optimiste. « Il faut redevenir des partenaires d’affaires et non des opposants pour mener à bien la réalisation de chantiers. » Stimuler l’attrait du marché reste un enjeu de taille, la mise de l’avant de mécanismes visant à rendre les appels d’offres publics plus attrayants doit se faire sans tarder, estime-t-on.

     

    QUATRE AXES D’INTERVENTION PRIVILÉGIÉS

    Mettre en place un calendrier de paiement : le respect des échéanciers s’avérant souvent complexe, on préconise d’instaurer un calendrier de paiement obligatoire comportant une chaine de délai dans les cinq jours.

    Optimiser les relations : à l’étape de réalisation des travaux, on peut consulter un intervenant expert en cas de litige. Celui-ci viendra prendre la décision dans un délai 30 jours. Ce mécanisme de règlement des différends permet d’améliorer la collaboration et évite que les entrepreneurs se retrouvent pris en otages.

    Clarifier les documents d’appels d’offres : on peut spécifier, en amont, des clauses contextuelles plus équitables pour les entrepreneurs, certes des clauses de pénalités en cas de retard, mais en contrepartie un bonus si les objectifs ont été atteints. Une meilleure planification des échéanciers assure aussi de bonnes conditions de travail.

    Bonifier les outils offerts aux municipalités : cela concerne les instances gouvernementales. Considérant que le millier de municipalités ont chacune leur façon de procéder, il importerait d’uniformiser les outils et la rédaction des documents d’appels d’offres.

  • L’UQTR se dotera d’un nouveau pavillon

    La construction d’un pavillon de recherche sur les technologies vertes et durables à l’UQTR débutera en 2023 au centre-ville de Trois-Rivières.

    D’une superficie totale de 3 045 mètres carrés, ce bâtiment visera l’autonomie énergétique et sera conçu selon un modèle de développement carboneutre. Il constituera en soi un laboratoire de recherche et développement pour la mise au point d’innovations dans plusieurs créneaux de la transition énergétique, tels que la mobilité électrique, le transport intelligent, la culture en serre et la réduction carbone.

     

    En plus de sa vocation de recherche, le pavillon favorisera le développement de partenariats industriels par la mise en œuvre de divers projets de recherche. Sur un horizon de cinq ans, 20 projets sont prévus de concert avec des entreprises, 20 avec la participation d’autres centres de recherche et 5 en collaboration internationale. Cette initiative permettra aussi la réalisation de 20 activités de transfert technologique et de commercialisation.

     

    Ce projet estimé à 46,03 millions de dollars (M$) bénéficie d’une aide gouvernementale de 38,97 M$ par le biais du Programme de soutien aux organismes de recherche et d’innovation (PSO) du ministère de l’Économie et de l’Innovation.

     

    Sources : Cabinet du ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional et UQTR

  • Modernisation de l’aréna de Baie-Saint-Paul

    Le coup d’envoi a été donné à la deuxième phase des travaux d’agrandissement et d’amélioration fonctionnelle de l’aréna Luc et Marie-Claude à Baie-Saint-Paul.

    L’entreprise Construction Éclair, de Clermont, a été mandatée pour effectuer les travaux qui consistent en l’ajout et la rénovation de vestiaires et de toilettes, l’aménagement d'une salle multifonctionnelle, l’optimisation des espaces de rangement ainsi que l’installation de gicleurs et la mise aux normes de la ventilation et de la distribution électrique.

     

    Le projet permettra également de rendre les installations accessibles universellement, notamment par l’aménagement d’une rampe d’accès vers les vestiaires du sous-sol.

     

    Le chantier sera complété par le remplacement du revêtement extérieur, l’ajout d’isolation dans les murs de l’enceinte et le surfaçage de la toiture.

     

    Ce projet est financé conjointement par le ministère de l’Éducation, dans le cadre du Programme d’aide financière aux infrastructures récréatives et sportives et le Gouvernement du Canada, dans le cadre du Programme d’infrastructure « Investir dans le Canada » (3 794 767 $), la Municipalité régionale de comté de Charlevoix (1 250 000 $) et la Ville de Baie-Saint-Paul (1 796 279 $).

     

    Source : Ville de Baie-Saint-Paul

  • Gatineau annonce la reprise de ses chantiers routiers

    La Ville de Gatineau investira 130 M$ en 2022 pour la réalisation de divers chantiers routiers qui permettront d’améliorer la sécurité et l’accessibilité de certains secteurs.

    Le réaménagement urbain du boulevard Saint-Joseph fait partie des projets routiers d’envergure qui se poursuivront en 2022.  Deux chantiers seront déployés, soit la poursuite des travaux de réaménagement du tronçon entre les boulevards Saint-Raymond et Montclair et le démarrage du tronçon entre la rue Dumas et le boulevard des Allumettières. Rappelons que le projet de réaménagement de ce boulevard prévoit la reconstruction des infrastructures et des aménagements de surface entre les boulevards Saint-Raymond et Alexandre-Taché.

     

    Le réaménagement urbain des rues Laval, Kent, Aubry et Victoria est également prévu cette année. Ce projet comprendra notamment l’aménagement d’un pôle ludique sur la rue Laval et sa piétonnisation, la création d’un lien vers la rivière des Outaouais et le nouveau projet multifonctionnel Zibi ainsi que la modification du carrefour à l’intersection de la rue Laval et de la promenade du Portage.

     

    La Ville entreprendra par ailleurs la phase six des travaux sur la rue Notre-Dame avec le remplacement des conduites d’eau potable et d’égouts, la reconstruction des trottoirs et des bordures ainsi que la réfection complète et l’asphaltage de la chaussée. L’ajout d’un lien cyclable, le remplacement du réseau d’éclairage et des aménagements publics et paysagers complèteront ce projet.

     

    Au total, une vingtaine de projets routiers reprendront au cours des prochaines semaines dans les rues de Gatineau et le démarrage de plusieurs autres travaux est en préparation.

     

    Source : Ville de Gatineau 

  • Une œuvre d’acier de 30 mètres à Place Ville Marie

    L’installation artistique l’Anneau sera suspendue en juin prochain à l’entrée principale de l’Esplanade PVM à Place Ville Marie, une propriété d’Ivanhoé Cambridge.

    Conçue par Claude Cormier + Associés, firme d’architecture de paysage, l'Anneau se veut une porte d’entrée sur le centre-ville. L’œuvre connectera visuellement l’Esplanade PVM, récemment revitalisée, au reste de la métropole tout en redonnant à celle-ci sa vocation événementielle et culturelle originale.

     

    La structure d’acier de 30 mètres de diamètre est composée d’un tube cintré de 80 cm de diamètre qui forme un anneau pesant plus de 23 000 kilogrammes. Représentant près de deux ans de collaboration d’équipes multidisciplinaires, cette installation a été fabriquée par la firme Marmen, basée à Trois-Rivières.

     

    L’arrivée de l'Anneau s’avère le dernier jalon de travaux majeurs effectués à PVM depuis 2017, alors que 200 M$ ont été investis pour améliorer sa performance énergétique, transformer sa galerie commerciale et revitaliser son Esplanade. Cette revitalisation a été réalisée par les firmes montréalaises Sid Lee Architecture et Menkès Shooner Dagenais LeTourneux Architectes.

     

    Source : Ivanhoé Cambridge

  • Des laboratoires de pointe pour l’Institut Courtois

    La Fondation Courtois verse 159 millions de dollars à l’Université de Montréal (UdeM) pour la création de l’Institut Courtois et de ses laboratoires.

    Grâce au don de la Fondation Courtois, une nouvelle aile sera construite au Complexe des sciences du campus MIL pour y accueillir les laboratoires de l’Institut Courtois lorsque le projet aura obtenu toutes les autorisations gouvernementales requises.

     

    Cet institut d’avant-garde met à profit les progrès récents en intelligence artificielle et en robotique pour accélérer la découverte, l’élaboration et la caractérisation de nouveaux matériaux, tels des batteries plus vertes et des options de remplacement aux minerais polluants à extraire. 

     

    Cette nouvelle aile s’ajoutera à celle qui était déjà prévue pour les départements d’informatique et de recherche opérationnelle ainsi que de mathématiques et de statistique. 

     

    Source : Université de Montréal

  • Journée commémorative des personnes décédées ou blessées au travail

    Le 28 avril marque le Jour commémoratif des personnes décédées ou blessées au travail au Québec, et le milieu de la construction est toujours parmi les plus touchés.

    Le bilan statistique publié par la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité au travail (CNESST) pour l’année 2021 représente un triste record : 207 décès sont attribuables au travail, soit 34 de plus que l’année précédente. Parmi ces décès, 71 sont survenus dans l’industrie de la construction, une hausse de 60 % par rapport à 2020.

     

    Le nombre de lésions professionnelles tous milieux confondus a également augmenté en 2021 : près de 105 700 personnes en ont subi dans tout le Québec. Ce nombre est plus élevé que la moyenne des 10 dernières années.

     

    Pour l’Association de la construction du Québec (ACQ), un plan d’action visant à améliorer le bilan de l’industrie de la construction doit être mis en place par la CNESST et l’ensemble des partenaires. « Dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, il est plus important que jamais que chaque personne qui œuvre sur un chantier agisse de façon diligente », exprime l’Association par voie de communiqué. « Les maitres d’œuvre, les employeurs, les travailleurs de même que les fournisseurs de matériaux et tous les professionnels qui y interviennent doivent demeurer vigilants. L’industrie roule à plein régime, alors que les chantiers de construction évoluent constamment en coactivité et les risques sont toujours omniprésents. »

     

    Le lourd bilan de 2021 a également secoué la Centrale des syndicats démocratiques (CSD) et la CSD Construction. Selon le président de la CSD, Luc Vachon, « ces chiffres nous montrent qu’il y a encore de gros efforts à faire dans les milieux de travail sur le plan de la prévention, que ce soit en organisation sécuritaire du travail ou dans l’intégration des nouveaux travailleurs ».

     

    Semaine de la sécurité dans le secteur de la construction

     

    La semaine de la sécurité dans le secteur de la construction débutera par ailleurs le 2 mai sur les chantiers de construction aux États-Unis et au Canada sous le thème « Solidaires. Soutenus. Sécuritaires. ».

     

    Les dirigeants de l’événement encouragent toutes les entreprises de construction à participer à cette importante initiative de l’industrie. Les entreprises peuvent visiter le site ConstructionSafetyWeek.com pour obtenir des ressources de planification gratuites, dont certaines traduites en français et en espagnol.

     

    Sources : CNESST, ACQ, CSD et Construction Safety Week

  • Pelletée de terre pour une nouvelle école à Carignan

    Le Centre de services scolaire des Patriotes (CSSP) a officialisé le début des travaux de construction d’une nouvelle école primaire en compagnie du ministre de l'Éducation et du maire de Carignan.

    Imaginée par BTA Architectes, cette école nouvelle génération d’une superficie de plus de 7 100 mètres carrés comprendra 32 classes, soit 8 pour le préscolaire et 24 pour le primaire. Celles-ci seront regroupées par maisonnées composées de quatre locaux de classe et de deux locaux interclasses permettant des lieux d’apprentissage partagés, ouverts et flexibles qui encouragent le coenseignement.

     

    Les installations incluront également trois locaux de service de garde, une salle de motricité ainsi qu’un gymnase double.  

     

    Conformément aux directives entourant la construction des écoles nouvelle génération, le nouvel établissement favorisera l’apport de la lumière naturelle et mettra en valeur les matériaux locaux, plus particulièrement le bois et l’aluminium.

     

    Ce projet évalué à 52 M$ sera réalisé sous la direction de Frédéric Gagné, ingénieur CSSP, avec les équipes de BTA Architectes, Construction Lavacon, GBI et Cima+.

     

    La nouvelle école accueillera les élèves à la rentrée 2024.

     

    Source : Centre de services scolaire des Patriotes

  • Une usine d’insectes dans le parc industriel de Drummondville

    L’entreprise Entosystem construira une usine sous le signe de l’économie circulaire et de l’autonomie alimentaire à Drummondville.  

    La nouvelle usine d’élevage et de transformation d’insectes totalisera plus de 9 000 mètres carrés. Le projet revalorisera les matières organiques provenant de l’industrie agroalimentaire qui seraient autrement gaspillées, en les utilisant pour nourrir des larves de mouche soldat noire. Celles-ci seront ensuite séchées et broyées en une farine protéinée destinée à l’alimentation des animaux domestiques et d’élevage. Un engrais sera également commercialisé.

     

    Les installations seront munies d’un système industriel entièrement automatisé du processus d’élevage d’insectes. Ces avancées technologiques permettront à l’entreprise de revaloriser 90 000 tonnes de matières organiques chaque année afin de produire 5 000 tonnes de larves protéinées de haute qualité ainsi que 15 000 tonnes d’engrais approuvé pour la culture biologique.

     

    Ce projet évalué à plus de 60 millions de dollars est réalisé en partenariat avec Agriculture et Agroalimentaire Canada, BDC, Financement agricole Canada, Exportation et développement Canada, le ministère des Pêcheries, de l’Agriculture et de l’Alimentation du Québec, Investissement Québec, la Financière agricole du Québec, RECYC-QUÉBEC, la Ville de Drummondville et la SDED, ainsi que Sanimax et Desjardins.

     

    Source : Entosystem

  • Des travaux majeurs sur le pont de la rivière Rimouski

    Le ministère des Transports annonce le début des travaux de réfection du pont qui enjambe la rivière au centre-ville de Rimouski.

    Les travaux majeurs qui s’échelonneront jusqu’en 2024 sur ce pont de la route 132 comprennent le remplacement complet du tablier, la réparation des unités de fondation et l’élargissement de la structure pour permettre l’intégration de la piste cyclable.

     

    Le contrat pour les travaux a été accordé à l’entrepreneur Construction Polaris CMM pour la somme de 22,8 millions de dollars (M$), au terme d’un processus d’appel d’offres public. Le cout global du projet est évalué à environ 30 M$.

     

    Construit en 1951, ce pont franchissant la rivière Rimouski est le plus achalandé à l’est de Québec; les travaux permettront de prolonger son utilisation pour une période estimée à 75 ans.

     

    Source : Cabinet du ministre des Transports

  • SNC-Lavalin mandaté pour le projet Champlain Hudson Power Express

    SNC-Lavalin a obtenu un mandat de maitre d’œuvre des promoteurs de transport d’électricité pour le projet Champlain Hudson Power Express.

    Dans le cadre du contrat de services, SNC-Lavalin assurera la supervision technique et la coordination de la conception des câbles de courant continu à haute tension (CCHT) et de la station de conversion. Le projet sera exécuté par son Centre d’excellence dans le domaine du CCHT, situé à Montréal. 

     

    Le projet Champlain Hudson Power Express consiste en une ligne de transport d’électricité souterraine d’environ 545 km, dont plus de la moitié sera installée sous l’eau et le reste, sous terre. La ligne de transport d’électricité partira de la station Hertel au Québec, traversera aux États-Unis sous le lac Champlain, puis se déplacera vers le sud pour se raccorder à une station de conversion à Astoria, dans le Queens, à New York.

     

    Source : SNC-Lavalin

  • Moderna choisit le Québec pour implanter son usine

    Le Gouvernement du Québec a souligné l’implantation d’une usine de fabrication de vaccins à ARN messager de Moderna dans la région métropolitaine.

    Moderna fabriquera non seulement des vaccins visant à lutter contre la COVID-19, mais aussi une gamme de vaccins à ARN messager qui pourraient combattre différents virus respiratoires, tels que l’influenza saisonnière et le virus respiratoire syncytial, lorsqu’ils seront approuvés des autorités réglementaires.

     

    Cette usine deviendra le premier site de production de l’entreprise au Canada.

     

    Source : Cabinet du premier ministre

  • Une nouvelle école primaire inaugurée dans le quartier Saint-Michel

    Le Centre de services scolaire de Montréal (CSSDM) a inauguré l’école primaire Saint-Bernardin, située sur la rue Jarry Est, à Montréal.

    Le nouvel établissement compte 18 classes d’enseignement de niveau primaire et 5 classes de maternelle, un local d’arts plastiques, une salle polyvalente, un local destiné au service de garde, un carrefour d’apprentissage, un coin lecture pour les élèves de maternelle, un gymnase double, un salon du personnel, des locaux administratifs ainsi que des locaux techniques de même qu’un ascenseur desservant les trois niveaux.

     

    Conçue par la firme Provencher_Roy, l’école offrira de hautes performances en matière d’efficacité énergétique, notamment par l’installation de systèmes d’aérothermie et de géothermie permettant la récupération de la chaleur et par l’intégration d’une toiture blanche.

     

    L’école, dont la construction fut réalisée au cout de 21 M$, accueille depuis la rentrée scolaire 2021-2022 près de 650 élèves.

     

    Source : Centre de services scolaire de Montréal

  • Le nouveau poste de la SQ prend forme à Dunham

    Le chantier de construction du nouveau poste de la Sûreté du Québec (SQ) de la MRC de Brome-Missisquoi avance rondement en vue d’une livraison à l’automne.

    Débuté à l’été 2021, ce projet géré par la Société québécoise des infrastructures vise à répondre à l’accroissement des effectifs policiers par la construction d’un nouveau bâtiment d’une superficie de 1 960 mètres carrés.

     

    L’intérieur conçu par BBBL et Espace Vital Architecture sera aménagé par secteurs : accueil des visiteurs, administration, centre de service de la MRC, sécurité routière, enquêtes criminelles, vestiaires, aire de repos et garage des équipements roulants. Trois stationnements seront par ailleurs aménagés à l’extérieur, soit un pour les visiteurs, un pour le personnel et un autre pour les véhicules de la SQ.

     

    Les travaux vont actuellement bon train sur le terrain. Les étapes d’excavation, d’infrastructure, de forage de puits géothermiques, d’étanchéité de l’enveloppe du bâtiment (murs et toiture) et les interventions de coulage des dalles de plancher sont maintenant terminées. Elles seront suivies de l’installation des systèmes électromécaniques ainsi que de l’amorce des travaux sur les divisions intérieures. L’aménagement des stationnements, des bordures et des trottoirs sera également bientôt entamé.

     

    L’équipe de projet pour cette réalisation est composée de BBBL et Espace Vital Architecture (Architecture), GBi Experts-conseils (génie civil et structure et paysage), Stantec Experts-Conseils (génie mécanique et électrique) et Construction Richelieu (entrepreneur général).

     

    Source : SQI

  • Blainville : début des travaux de réaménagement de l’intersection du chemin du Bas-de-Sainte-Thérèse

    Le ministère des Transports du Québec (MTQ) a annoncé le début des travaux de réaménagement de l’intersection de la sortie no 24 Montée Lesage/Chemin du Bas-de-Sainte-Thérèse de l’autoroute 640, en direction est, et du chemin du Bas-de-Sainte-Thérèse à Blainville.

    Plus précisément, les travaux consistent principalement à :

     

    • Élargir la bretelle de sortie de l’autoroute 640, en direction est, qui mène au chemin du Bas-de-Sainte-Thérèse;
    • Ajouter un feu de circulation et une voie de virage à droite, à l’intersection du chemin du Bas-de-Sainte-Thérèse et des bretelles de l’autoroute 640 en direction est;
    • Réaménager la bretelle menant du chemin du Bas-de-Sainte-Thérèse à l’autoroute 640, en direction est;
    • Élargir le chemin du Bas-de-Sainte-Thérèse, réaménager certains accès et prolonger la piste multifonctionnelle existante.

     

    Réalisé par la Ville de Blainville, ce chantier de 9,2 M$ s’échelonnera jusqu’en décembre 2022.

     

    Source : Ministère des Transports

  • 21 avril 2022
    Par la Direction des communications de la RBQ

    Au cours des derniers mois, la Régie du bâtiment du Québec (RBQ) a publié quatre outils pédagogiques visant à faciliter la conception et la construction de bâtiments mieux adaptés à certaines nouvelles réalités telles que la lutte contre les changements climatiques, le développement durable ou encore l’accessibilité universelle.

    Efficacité énergétique

    Un guide explicatif portant sur l’efficacité énergétique des bâtiments autres que les petits bâtiments d’habitation est disponible depuis décembre 2021. Ce guide est complémentaire à la réglementation du chapitre I.1 du Code de construction, qui spécifie l’ensemble des exigences d’efficacité énergétique. Destiné aux concepteurs ainsi qu’aux entrepreneurs, il facilite la compréhension des exigences décrites au Code.

     

    Rappelons que ces nouvelles exigences permettront d’améliorer de 27,9 %, en moyenne, la performance énergétique globale des bâtiments visés. En plus de faire économiser environ 20,2 M$ aux entreprises et aux particuliers sur leur facture annuelle d’énergie, l’application des nouvelles normes de construction engendrera une importante réduction d’émissions de CO2, soit l’équivalent de ce que peuvent émettre près de 18 000 voitures en une année.

     

    En savoir plus : Guide explicatif sur le Code de construction du Québec, Chapitre I.1 – Efficacité énergétique du bâtiment

     

    Bâtiments de construction massive en bois encapsulé

    Le 7 mars dernier, la RBQ a présenté une nouvelle version des directives et du guide explicatif portant sur les bâtiments de construction massive en bois encapsulé d’au plus 12 étages. Cette mise à jour contient les indications nécessaires pour que les concepteurs et constructeurs de ce type d’immeubles puissent réaliser leurs travaux de conception et de préparation des plans et devis. Cette bonification de l’édition de 2015 intègre les avancées les plus récentes dans le domaine.

     

    L’utilisation du bois dans la construction est une priorité gouvernementale. La publication de cet ouvrage vise à contribuer à l’intégration du bois dans la réglementation québécoise ainsi qu’à favoriser l’utilisation de matériaux de construction écoénergétiques et à faible empreinte carbone.

     

    En savoir plus : Bâtiments de construction massive en bois encapsulé d’au plus 12 étages – Directives et guide explicatif

     

    Accessibilité des bâtiments

    Le nouveau guide sur l’accessibilité des bâtiments est disponible depuis la fin du mois de mars. Il est publié à la suite de la dernière révision du chapitre I, Bâtiment, du Code de construction, entrée en vigueur le 8 janvier 2022.

     

    Ce guide réunit l’ensemble des normes de conception en matière d’accessibilité et fournit des renseignements sur les motifs de certaines exigences. Il propose également des commentaires, par l’entremise de textes et d’illustrations, sur la façon dont bon nombre d’exigences peuvent être appliquées.

     

    Conçu à l’origine pour les concepteurs, architectes, entrepreneurs et autres intervenants du milieu de la construction, ce guide sert de référence à toute personne désireuse de promouvoir un environnement bâti plus accessible.

     

    En savoir plus : Guide sur l’accessibilité des bâtiments

     

    Récupération de l’eau de pluie des bâtiments

    La collecte et l’utilisation de l’eau de pluie des bâtiments pour un usage ne nécessitant pas de l’eau potable offrent de multiples avantages environnementaux et économiques. Mais des précautions sont aussi à prendre pour limiter les risques liés à la santé pour la consommation et l’inhalation de l’eau de pluie non potable. La RBQ, en collaboration avec un groupe d’experts, a analysé les répercussions sanitaires, environnementales, techniques, législatives et économiques potentielles de l’élargissement des usages permis pour l’eau de pluie.

     

    En savoir plus : Récupération de l’eau de pluie des bâtiments pour une utilisation ne nécessitant pas de l’eau potable

     

    Un rôle en croissance pour la RBQ

    Une diffusion soutenue d’outils pédagogiques et de documents explicatifs permet à l’ensemble des intervenants du milieu de la construction de mieux saisir la réglementation en vigueur avant de l’appliquer. Ce partage d’expertise s’inscrit dans une démarche de protection du public et contribue à la qualité et à la sécurité des bâtiments et des installations.

    Cet article est paru dans l’édition du 14 avril 2022 du journal Constructo. Pour un accès privilégié à l’ensemble des contenus et avant-projets publiés par Constructo, abonnez-vous.

  • Drummondville investit plus de 15 M$ dans ses infrastructures municipales

    Que ce soient des travaux d’aqueduc, d’asphaltage ou d’éclairage, la Ville de Drummondville dépensera plus de 15 M$ cette année afin de maintenir la qualité ou de bonifier celles-ci.

    Des travaux d’asphaltage, de bordure et d’éclairage dans plusieurs nouvelles rues sont prévus, de même que des travaux de réfection d’asphalte dans de nombreuses rues existantes. Généralement, ces derniers incluent l’enlèvement de l’asphalte existant, la pose du nouveau revêtement, le marquage de la chaussée ainsi que la réfection des lieux.

     

    Parmi les voies touchées par la réfection de la chaussée, notons les boulevards Allard et Saint-Charles, de même que les rues Brousseau, Comeau, des Forges, Lafontaine et Saint-Georges. En ce qui concerne les nouvelles rues qui se verront asphaltées et éclairées, soulignons notamment les rues Cabernet, du Merlot, du Mauzac, Descartes, Gaillard, Bizet et Offenbach.

     

    Pour ce qui est des travaux d’infrastructures souterraines, ceux-ci auront lieu sur le boulevard Allard et les rues Hamelin et L’île-aux-Noyers, la Place Bonneville, le secteur de La Coulée ainsi que les rues Cormier et Marier.

     

    Source : Ville de Drummondville

  • REM de l’Est : CDPQ Infra se retire du projet

    Constatant un manque d’acceptabilité sociale pour certains tronçons, le Gouvernement du Québec et la Ville de Montréal se sont entendus pour retirer l’insertion du REM de l’Est au centre-ville et poursuivre le projet sur les autres tronçons en mode REM.

    Cette décision a un impact sur la portée du projet et fait en sorte que celui-ci ne cadre plus dans l’environnement de la CDPQ. Cela met fin à la phase de planification détaillée du projet tel que présenté par CDPQ Infra en décembre 2020.

     

    La nouvelle équipe de projet, composée du ministère des Transports, de la Ville de Montréal et de la Société de transport de Montréal, travaillera avec l’Autorité régionale de transport métropolitain pour finaliser la planification et la conception du projet. Ainsi, l’équipe veillera à mettre en place des solutions pragmatiques dans le but d’assurer un meilleur arrimage du REM de l’Est avec les lignes de métro.

     

    Elle explorera également des possibilités d’aménagement plus harmonieuses pour le secteur de Mercier-Est et considérera l’extension du tronçon Marie-Victorin à Laval et du tronçon est, vers Lanaudière.

     

    Source : Cabinet du premier ministre

  • Durée
    35 h (10 demi-journées)
    Organisme
    Technorm
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation permettra d'aborder l'ensemble des exigences du CNB 2015. 

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Les différents principes associés à l'acoustique et l'insonorisation des bâtiments : apprendre à prévenir les problèmes éventuels.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Entretien préventif et traitement des pathologies du béton : une approche globale pour intervenir efficacement et éviter les couts inutiles.

  • Durée
    3,5 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation vise à permettre aux participants de reconnaître les propriétés des matériaux et des systèmes d’étanchéité de couverture parmi ceux utilisés couramment en couverture au Québec et de mieux les connaître.

  • Durée
    7 h sur 2 jours
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation permettra de confirmer les bases de chaque sous-discipline tout en mettant l’accent sur les éléments méconnus. Elle permettra aussi d’énumérer les principales modifications apportées à l’édition en vigueur depuis le 27 mars 2021 et de présenter les différents volets du développement durable pour les installations de plomberie.

  • Durée
    3,5 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    L’objectif général de cette formation sera de comprendre l’application de la nouvelle réglementation à l’égard des ponts thermiques et de la continuité de l’isolation.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation permettra de concevoir des cuisines performantes en matière d’efficacité, de découvrir des matériaux écologiques et les nouveautés du marché.

  • Durée
    3,5 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation présentera les principaux changements apportés par le nouveau Code de l’énergie dans le calcul de la performance énergétique des assemblages.

  • Durée
    14 h sur 2 jours
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation en mode pratique permettra de maîtriser chacune des étapes d’un projet de construction. 

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation est une présentation complète des produits de quincaillerie électrifiée requis pour l’implantation d’un contrôle d’accès et la sécurisation d’un bâtiment et de ses occupants.

  • Durée
    3,5 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation donnera des bases en droit contractuel et les avantages et inconvénients des principaux types de documents du CCDC.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    La formation exposera les principes fondamentaux de base nécessaires à la compréhension des phénomènes qui influencent la performance de l'enveloppe du bâtiment.

  • Durée
    7 h sur 2 jours
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation permettra de prendre du recul sur la fonction de gestionnaire pour bien comprendre la valeur ajoutée de ce rôle au sein d’une organisation. 

  • Durée
    14 h sur 2 jours
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Couvrir les objectifs de sécurité incendie, d’accessibilité universelle, de santé et de protection incendie.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation est composée de 3 blocs : le premier est une introduction et les 2 autres concernent l’ensemble des codes et des normes applicables aux installations ainsi que les mécanismes de suivi.

  • Durée
    6 h
    Organisme
    Technorm
    Lieu
    En ligne
    Description

    Ce cours s’adresse à des professionnels de la construction qui désirent se mettre à jour en matière d’application des exigences du Chapitre I – Bâtiment du Code de construction du Québec.

  • Durée
    3,5 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Identifier les principales modifications et en comprendre leurs impacts.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation explique l’investigation de base d’un immeuble en vue de préparer les différents plans d’entretien, les projections des investissements, les mandats d’experts selon le cas ainsi que l’identification des risques à la santé des occupants.

  • Durée
    35 h (10 demi-journées)
    Organisme
    Technorm
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation permettra d'aborder l'ensemble des exigences du CNB 2015.

  • Durée
    7 h sur 2 jours
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation s’adresse à toute personne qui agit comme concepteur ou qui prépare, supervise ou utilise des devis, ainsi qu’à toute personne désirant améliorer ses connaissances sur le sujet.

  • Durée
    7 h sur 2 jours
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation propose, via une présentation des normes applicables, des études de cas portant sur la performance et les désordres généralement retrouvés, de même qu’un survol des méthodes d’analyse, d’investigation, d’entretien et de réparation.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation est une introduction à l'analyse de la valeur telle qu'elle est pratiquée dans le cadre de la conception et de la réalisation de projets immobiliers.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Connaître et apprendre les principes de base en estimation et en planification budgétaire.

  • Durée
    3,5 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Les concepts reliés aux moyens d’évacuation seront expliqués en détail pour les bâtiments qui doivent respecter les exigences de la partie 3 ou de la partie 9 du Code.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Le règlement sur l'amiante adopté en 2013 vient ajouter des obligations supplémentaires aux propriétaires et aux employeurs du Québec concernant les matériaux contenant de l’amiante et leur gestion.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation donnera des outils et des stratégies à adopter pour éviter de se sentir constamment en mode survie.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation met l’accent sur la crédibilité, le professionnalisme et la rigueur scientifique qui sont des paramètres fondamentaux, particulièrement dans le cas du témoin expert et de son rapport.

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